C’est avec joie et sympathie que Francis Névoret, ancien étudiant de l’IUT information et communication de Lyon, a accepté de répondre à mes questions concernant ses études. Entre communication et mode, celui qui travaille aujourd’hui au sein de l’entreprise internationale Sarenza nous livre son parcours.
Son parcours dans la communication et la mode
Francis a tout d’abord effectué un DUT information et communication option information numérique dans les organisations.
Suite à celui-ci, il s’est orienté vers une licence 3 information et communication parcours communication à l’université Lille 3 : « Ce parcours m’a permis de me spécialiser d’avantage dans la branche de la communication après l’option INO du DUT. »
Ce n’est seulement que durant son master 1 que Francis s’oriente vers la mode, un domaine l’ayant toujours passionné. En effet, suite à sa L3 il décide de retourner sur Lyon afin d’effectuer un master 1 en Mode et communication à l’université Lyon 2.
Actuellement, il étudie en master 2 professionnel (c’est à dire en alternance) Marketing et communication des entreprises à l’université Paris Panthéon-Assas. C’est grâce à ce parcours très complet qu’il a pu se démarquer professionnellement et face à d’autres candidats notamment pour son alternance dans l’entreprise Sarenza. « C’est vrai que le marketing peut aider à comprendre pas mal de choses, mais il faut aimer ! »
« La mode est internationale, l’anglais est primordial »
Des difficultés rencontrées ? : « Je ne dirais pas que ce sont des difficultés à proprement parler, chaque cursus est unique ».
Depuis sa sortie de l’IUT, Francis a fait face à une sélection sur dossier, puis sur entretient pour chacun des cursus qu’il a intégré. Mais pour lui, la principale difficulté a été et est toujours de combiner la vie étudiante (concernant les projets de groupes et les cours), avec la vie professionnelle en entreprise. En effet, il n’y a pas toujours le même rythme en entreprise, les mêmes objectifs ou enjeux.
Sinon, concernant l’accès au master dans la mode, Francis nous rassure par rapport au background que nous détenons (ou pas) concernant ce milieu.
Selon lui, « il suffit d’avoir un minimum de culture par rapport à la mode » et bien évidemment de s’investir dans les cours, d’être curieux et de suivre les actualités du milieu comme la Fashion Week, les sorties de collections, certains films iconiques … « C’est un regroupement de plein de connaissances différentes, alors l’ouverture d’esprit et la curiosité sont vraiment importantes ! ».
Une autre problématique que certains étudiants semblent rencontrer en école de mode est qu’il faut aimer l’anglais et vouloir apprendre dans cette langue. La mode est internationale, l’anglais est donc primordial.
Son travail « pétillant » chez Sarenza
Sarenza est une entreprise française basée à Paris et spécialisée dans la vente en ligne de chaussures et accessoires.
Créée en 2005 par Francis Lelong, Yoan Le Berrigaud, Frank Zayan, la société est aujourd’hui dirigée par ses deux actionnaires majoritaires Stéphane Treppoz et Hélène Boulet-Supau.
A partir de 2009, la société s’est développée hors de la France, dans toute l’Europe.
Aujourd’hui, elle livre dans plus de 26 pays d’Europe, et a ouvert des sites dédiés pour 11 pays et 1 site européen pour les autres.
Quand je demande à Francis si le fait de travailler pour une entreprise aussi cotée est difficile, aucun point négatif n’en ressort : « J’avoue que c’est plus compliqué ! Enfin il n’y a aucun travail parfait tous les jours mais je ne sais pas trop quoi répondre pour le coup. »
Il aime son travail d’Assistant Relation Presse et communication dans cette entreprise, notamment grâce au rythme à la croisée de l’agence et de l’annonceur, le contact permanent avec des personnes différentes venant du milieu de la mode, le fait de travailler avec des nationalités multiples … « Après c’est personnel, mais j’aime aussi le côté mode et pétillant de Sarenza que je retrouve clairement dans mon travail. »
La mode au quotidien
« La mode se travaille aussi personnellement, à travers des expos, des articles, de l’intérêt pour les collections … mais en une année de Master mode j’ai pu apprendre beaucoup de choses, et aujourd’hui j’en apprends encore et j’applique certaines choses grâce à mon travail chez Sarenza. »
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