L’IUT est une aventure qui finit tôt ou tard par se terminer, pour en débuter une nouvelle. Les portes que peut ouvrir le DUT Info-Com vers les licences sont nombreuses. C’est par le témoignage de trois étudiantes de la promo 2017 – 2019, que vous allez en apprendre un peu plus sur la suite de ce diplôme.
Qui sont les trois étudiants suivis ?
Mia Desrousseaux, Elodie Vaux et Thomas Owezareck
Mia et Elodie toutes les deux âgées de 20 ans et Thomas 21 ans, étaient dans la promotion 2017 – 2019, et ont tous obtenu leur DUT avec brio. Aujourd’hui, Mia est en Licence professionnelle en communication multimédia à l’IAE de Lyon en alternance à SNCF Réseau. Elodie est, elle, en licence Com 360 à Lyon 3. Thomas est lui en licence Information Communication option journalisme de Grenoble. Des choix de parcours très différents mais liés par un croisement commun : le DUT Info-Com de Lyon 3.
Quel sont ton meilleur et ton pire souvenir de l’IUT ?
Mia :
Mon meilleur souvenir personnellement c’est le Challenge de la veille car j’ai appris à connaître réellement certaines personnes, notamment Johanna, et il y avait un fort esprit de cohésion chez les INO, c’était top. Mon pire souvenir ? Je dirais ou la socio et les questionnaires ou les quelques cours de soutiens maths auxquels j’ai dû aller.
Elodie :
Alors pour moi, le meilleur souvenir c’est le Challenge de la veille. On était tous à fond et tous unis. En ce qui concerne mon pire souvenir, c’est avec mon projet tut, un projet à été abandonné et ça nous a ralenti. Sinon, ma note de mémoire de stage n’est pas un bon souvenir non plus !
Thomas :
Alors tout de suite, je dirai le Challenge de la veille qui a vraiment rassemblé tout le monde ! C’était vraiment trop bien. Pour le pire souvenir, c’est le dossier de socio. C’était beaucoup de travail et en plus, j’ai eu des embrouilles dans mon groupe mais on a réussi !
Qu’est-ce qui t’as le plus marqué dans ce que tu as pu apprendre à l’IUT ?
Mia :
Franchement, c’est de savoir chercher de l’information. Trouver rapidement et efficacement une info pour des dossiers c’est trop bien, ça me fait gagner énormément de temps.
Elodie :
Je dirais le rythme de travail compliqué comme dans la vie pro, le fait de pouvoir gérer en stratégie de communication et la polyvalence notamment avec la veille.
Thomas :
L’IUT c’est bien plus dans la pratique alors que maintenant on survole vraiment. Le fait d’utiliser réellement les outils, de faire des cas pratique et des vrais travaux de groupes c’est vraiment pas la même chose qu’à la fac !
Quelle formation fais-tu après l’IUT ?
Mia :
Alors je suis en licence pro en communication multimédia à l’IAE de Lyon et c’est en alternance à SNCF Réseau.
Elodie :
Je fais une licence Com 360 à lyon 3.
Thomas :
Je suis actuellement en licence information-communication, option journalisme à Grenoble.
Quels liens en termes de cours peux-tu faire avec l’IUT ?
Mia :
Tous les cours de com en général ! Par exemple, stratégie de communication qui revient beaucoup, le côté graphisme, le coté audiovisuel et un peu de marketing mais pas beaucoup tout comme à l’IUT d’ailleurs !
Elodie :
Je peux faire beaucoup de liens pour le coup ! La stratégie de communication avec Mme Villa, je fais encore de l’épistémologie et de la pratique sur les TIC. Sinon, on fait aussi des dossiers en stratégie de marque, de communication digitale et de la gestion des réseaux sociaux avec des infographies ou de l’audiovisuel.
Thomas :
Je fais vraiment les mêmes cours en termes de communication et d’expression écrite mais on a beaucoup plus de recul alors qu’à l’IUT c’était plus pratique. Excepté pour mes options spécifiques en rapport avec le journalisme ça ressemble beaucoup à l’IUT dans le fond.
Quels sont les points communs et les différences entre ta formation et l’IUT ?
Mia :
Je retrouve le côté un peu élitiste, il y a énormément de travail à l’intérieur comme à l’extérieur, mais c’est totalement moins encadré que l’IUT c’est un peu flippant parfois. Mais ça prépare bien au monde du travail.
Elodie :
On a beaucoup de travail à l’extérieur avec pas mal des travaux de groupes. On a aussi un projet tutoré et beaucoup de cours en commun notamment pour ceux ayant été en option COM à l’IUT. Par contre, maintenant, on est plus dans la réflexion, notamment dans la communication en général. On a beaucoup de CM, et c’est moins pratique que l’IUT, ça prépare bien pour un master.
Thomas :
Pour ce qui est des cours, c’est franchement les mêmes qu’à l’IUT mais en moins poussé. J’étais ultra bien préparé pour cette licence après le DUT. La différence c’est qu’on n’a pas énormément de cours et de dossiers. Cela veut dire plus de temps pour travailler et on a moins la pression pour les dossiers donc on peut prendre notre temps pour rendre des dossiers plus poussés !
Quels sont les points forts de ta formation ?
Mia :
Franchement, c’est le fait que ce soit en alternance, pour moi ça change la vie. C’est hyper formateur, c’est ultra pratique et il y a bien moins de côté théorique ! Alors qu’à l’IUT, c’était déjà bien plus pratique que ça peut l’être à la fac. C’est dire !
Elodie :
Je dirais que c’est les matières pro que l’on peut avoir. Sinon le projet tutoré est vraiment bien aussi, ça demande des efforts, ça crée un réseau pro et pas mal de contact. On à même la possibilité de faire un stage en avril.
Thomas :
Alors pour moi, c’est le côté ultra spécifique vers le journalisme. C’est vraiment fait pour nous préparer aux écoles de journalisme, savoir écrire, avoir de la culture générale et apprendre le vocabulaire du métier.
Comment vois-tu la suite ?
Mia :
Après l’alternance, je veux devenir chargée de communication et travailler vraiment, dans une entreprise en com interne mais je reste ouverte à tout et j’espère trouver un bête de job pour plus tard !
Elodie :
Je voudrais tenter un master en communication mais ne sait pas précisément où. Soit en communication numérique, soit en communication globale.
Thomas :
Wow ! La suite je ne sais pas encore. Soit je fais un master, soit je réussis les concours et je rentre dans les écoles de journalisme que je souhaite, soit je trouve un petit job dans une rédaction… On verra !
Vous pouvez retrouver les articles qu’ils ont écrit lors de leurs passages à l’IUT ici :
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